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CULTURE

RDC : le film « Bendele ekueya te » bientôt sur les petits écrans

La nouvelle série « Bendele ekueya te », un film Bomoko (unité) pour la fin de l’insécurité en République démocratique du Congo, rend hommage à l’armée congolaise. Il s’agit là d’un cadeau signé par le réalisateur congolais, Sergens Kabika Bashonga. Pour ce faire, il a lancé la campagne de mobilisation de fonds.

D’après Sergens Kabika, cette campagne qui met ensemble tous les Congolais, décideurs, civils et militaires, vise à redorer l’image du soldat congolais, véritable héros et surtout l’homme à travers lequel, l’on peut encore parler de l’intégrité du territoire national. Mais qui, malheureusement, reste dans les oubliettes avec un traitement de minable.

L’armée congolaise, malgré quelques bavures, a démontré sa puissance de feu en arrachant certains bastions gardés depuis plus de vingt ans par les ennemis de la paix. Aujourd’hui et mieux qu’hier, en RDC, l’armée nationale a véritablement joué son rôle comme le souligne le code rome K1701 qui est de : Maintenir la paix dans le pays et le défendre contre les agressions extérieures. Faire respecter l’ordre public et assurer la sécurité des personnes; mais aussi de veiller au bon état de marche des matériels de l’armée (maintenance ou logistique. L’armée dans l’est de la RDC sensibilise la population contre le port illégal des armes légères et de petit calibre.

Juste après la conférence de presse du lancement du projet de production de la série Bomoko au Musée national de la RDC, le 17 mai, à l’occasion de la journée dédiée à la révolution et aux forces armées de la RDC.

Cette campagne vise principalement à mobiliser des fonds pour faciliter la production de la série télévisée du réalisateur congolais Sergens Kabika avec comme leitmotiv, illustrer les prouesses de nos forces armées, surtout créer une collaboration saine et étroite entre l’armée et les civils en vue de mettre fin à l’insécurité dans l’Est de la RDC.

Le montant global souhaité est de 25 000 dollars américains. Fonds que le réalisateur espère réunir dans deux mois pour réussir ce projet des Congolais par et pour les Congolais et, cela, en mettant en avant garde notre panafricanisme au service du pays.
Car, selon Sergens Kabika, la paix et le développement de notre pays est une responsabilité partagée.

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